Séance de méditation
Le bol tibétain, le son qui rythme.
Dans la tradition bouddhiste on médite dans la position du lotus ou zazen, assis sur un coussin, la posture doit être droite tenue sans effort et sans raideur. Enfin de permettre au corps de se rentre disponible à l’esprit, l’attention de la respiration et à l’écoute du corps. A l’entrée de la méditation le son du bol ouvre et rythme la méditation.
La vie aussi dans les temples est rythmée par des sons qui accompagnent les pratiquants tout au long de la journée. Les bols ont la propriété de purifier une pièce de la maison, les auras. Les ondes sonores calment le corps et l’esprit. On peut également durant un massage, les poser sur telle ou telle partie du corps (bas du dos par exemple) et les faire vibrer. Les vibrations sont alors transmises au « corps subtil » selon le niveau de vibration et selon le niveau « d’éveil » ou le « niveau spirituel » de la personne qui frappe le bol, puis ensuite aux cellules du corps.
L’origine des bols chantants tibétains :
Les bols tibétains, aussi appelés bols chantants, sont originaires du Tibet, du Népal et du Bhoutan. On en fabrique aussi en Inde les soirs de la pleine lune. Leur fabrication remonte à 2000 av. J.C. Utilisés en astrologie et dans des rituels secrets, on leurs attribue également des vertus thérapeutiques. Dans les années 50, au début de l’occupation du Tibet par les chinois, leur utilisation s’est répandue à travers le monde suite à l’exode de nombreux moines tibétains.
Pour bien choisir son bol Tibétain, il faut faire un essai en présence :
Car chaque bol a un son unique et chaque personne le fait chanter selon sa sensibilité, son niveau vibratoire, sa « maturité spirituelle ». La pureté du son, comme un instrument de musique correspond au niveau du tourneur du bol, mais surtout et avant tout, modestement
A la sincérité de son engagement.
Namasté